Den kreisrunden Todengwalzer tanzen est un spectacle liant danse et texte, construit sur la conjonction de ces deux médiums portant le sens de façon complètement différente.
Dans la fiction proposée par le texte, le personnage principal trouve, grâce à un rituel dansé, une façon de s’enraciner lui-même dans un sol pourtant empoisonné. Sur scène, la danse s’articulant avec le texte s’appuie sur la « volonté de langage » propre au corps.
Ce spectacle raconte l’histoire d’un futur possible, une histoire de la transformation des corps et de l’environnement, dominé mais non contrôlé par la technoscience. On peut appeler cette histoire de la science-fiction, une fable ou un conte philosophique.
Den kreisrunden Todengwalzer tanzen est une combinaison de texte projeté sur scène, de danse et de musique, se télescopant dans un décor minimaliste. Le point focal du spectacle est dans la tension entre les mouvements de la danseuse et le texte écrit, tension qui questionne la relation de la danse à la narration tout en soulignant comment le corps est lu et déchiffré.
Le dispositif invite à développer des stratégies individuelles pour percevoir et interpréter le spectacle comme un tout, et, par l’association de la puissance évocatrice de la littérature et de la physicalité émotionnelle de la danse, stimule des imaginations insoupçonnées.
Par son texte, den kreisrunden Todengwalzer tanzen raconte une histoire de transformation et de conjuration, une quête étrange dans un futur potentiel dans lequel le vivant a été modifié par un environnement toxique. L’univers créé implique une physicalité et des relations à l’environnement spécifiques, qui résonnent dans le travail de danse.
L’esthétique chorégraphique du spectacle est basée sur une conception de la danse comme une apogée de l’expression et de la culture humaine – au-delà de la conception moderne de l’art –, autant qu’un laboratoire personnel. Cela permet de construire une danse à la limite du rituel à partir de réorganisations sensibles et minimales à l’intérieur du corps, comme un processus oscillatoire perpétuel.
Dans la fiction proposée par le texte, le personnage principal trouve, grâce à un rituel dansé, une façon de s’enraciner lui-même dans un sol pourtant empoisonné. Sur scène, la danse s’articulant avec le texte s’appuie sur la « volonté de langage » propre au corps.
Ce spectacle raconte l’histoire d’un futur possible, une histoire de la transformation des corps et de l’environnement, dominé mais non contrôlé par la technoscience. On peut appeler cette histoire de la science-fiction, une fable ou un conte philosophique.
Den kreisrunden Todengwalzer tanzen est une combinaison de texte projeté sur scène, de danse et de musique, se télescopant dans un décor minimaliste. Le point focal du spectacle est dans la tension entre les mouvements de la danseuse et le texte écrit, tension qui questionne la relation de la danse à la narration tout en soulignant comment le corps est lu et déchiffré.
Le dispositif invite à développer des stratégies individuelles pour percevoir et interpréter le spectacle comme un tout, et, par l’association de la puissance évocatrice de la littérature et de la physicalité émotionnelle de la danse, stimule des imaginations insoupçonnées.
Par son texte, den kreisrunden Todengwalzer tanzen raconte une histoire de transformation et de conjuration, une quête étrange dans un futur potentiel dans lequel le vivant a été modifié par un environnement toxique. L’univers créé implique une physicalité et des relations à l’environnement spécifiques, qui résonnent dans le travail de danse.
L’esthétique chorégraphique du spectacle est basée sur une conception de la danse comme une apogée de l’expression et de la culture humaine – au-delà de la conception moderne de l’art –, autant qu’un laboratoire personnel. Cela permet de construire une danse à la limite du rituel à partir de réorganisations sensibles et minimales à l’intérieur du corps, comme un processus oscillatoire perpétuel.